Bien qu’à l’époque de nos grands-mères, les méthodes de contraception étaient différentes de celles dont on dispose aujourd’hui, ces dernières arrivaient quand même à contrôler leur corps, soit en faisant plus attention à ses cycles menstruels ou en gérant avec leur mari leur fertilité. Ces méthodes qu’on surnomme conventionnelles ou naturelles sont encore pratiquées, mais sachez qu’elles n’assurent pas toujours le résultat souhaité. Leurs principes de base sont d’interrompre l’acte sexuel avant l’éjaculation ou l’abstinence pendant la période fertile.
Le contrôle de l’acte sexuel
Le retrait, qui se traduit en une éjaculation interrompue pendant l’acte sexuel, n’est pas tout à fait sûr, car il est estimé que le risque de grossesse varie de 10 à 20 en un an pour cent femmes qui ont recours à cette méthode de contraception vieille comme le monde. Ceci peut se produire suite à un mauvais contrôle de l’éjaculation ou suite à un nouveau rapport trop rapproché du précédent, ce qui fait que les spermatozoïdes remontent tout le vagin jusqu’au col de l’utérus. Outre ce risque, il ne faut pas oublier que cette méthode n’abrite pas ses pratiquants contre des maladies sexuellement transmissibles.
Les moyens de prévention
Pour prévenir une éventuelle grossesse, les couples peuvent avoir une relation sexuelle en dehors du cycle menstruel mais, cependant, elle n’est pas toujours fiable. Toutefois, pour sa réussite, il faut que la femme connaisse bien son corps et un commun accord avec son partenaire est aussi souhaitable.